Deux étudiants de Vaudreuil-Soulanges honorés au 22e Gala Méritas de l'ITA | VIVA MÉDIA Skip to main content

L’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) a souligné, pour une 22e année consécutive, le talent, l’engagement et la réussite de ses étudiantes et étudiants au cours du Gala Méritas qui a eu lieu le mercredi 17 avril dernier au campus de Saint-Hyacinthe. À cette occasion, deux étudiants de la région ont obtenu des honneurs pour s’être distingués durant l’année 2018-2019.

Mme Cloé Beauchemin de Les Cèdres, a reçu une bourse de 500 dollars pour son goût de l’excellence. (Photothèque)

M. Samuel Villeneuve, de Rigaud, a obtenu le prix Personnalité sportive masculine de l’année d’une valeur de 500 dollars.(Photothèque)

Ainsi, Mme Cloé Beauchemin de Les Cèdres, a reçu une bourse de 500 dollars pour son goût de l’excellence. Cette étudiante de deuxième année en Technologie du génie agromécanique a reçu son prix de la Fondation du Salon de l’agriculture.

 

Pour ce qui est de M. Samuel Villeneuve, de Rigaud, il a obtenu le prix Personnalité sportive masculine de l’année d’une valeur de 500 dollars. La Fondation Édouard-Brochu a remis ce prix à cet étudiant de troisième année en Technologie de la production horticole et de l’environnement.

 

Une occasion pour les partenaires de rencontrer la relève

La tenue du Gala Méritas est rendue possible grâce à la générosité de nombreux partenaires issus de tous les secteurs de l’industrie agroalimentaire. Près de 80 prix et bourses ont été décernés cette année, représentant une somme totale de 40 750 dollars.

 

« Le Gala Méritas de l’Institut offre la chance aux étudiants et aux entreprises du milieu de se rencontrer et de faire connaissance, a indiqué Mme Louise Leblanc, sous-ministre adjointe à la formation bioalimentaire et responsable de l’ITA. Grâce aux rencontres qu’elle suscite, cette activité favorise l’épanouissement personnel et professionnel des étudiants. Elle permet aussi aux entreprises d’approcher des candidats potentiels, susceptibles de devenir de futurs employés, ce qui constitue un avantage si l’on considère le contexte de rareté de la main-d’œuvre dans lequel l’industrie se trouve. »

Mona Rochon

Journaliste

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