Qu’on le veuille ou non, nous sommes actuellement à la croisée des chemins. Les mondialistes ont poussé « leur luck » au maximum cette fois-ci. Le commun des mortels a deux options, il s’ouvre les yeux, analyse et se fait une opinion ou se les ferme, perpétue son obéissance systématique et espère gagner du temps.
Certains l’ont vu venir à 100 milles. Dès le début de la pandémie, en mars, sur mon blogue, je discutais de l’enjeu des vaccins. Le spectacle était tout simplement trop gigantesque. La suite des choses me confirme bien un des enjeux principaux. La vaccination de masse!
Nous ne sommes guerre chanceux ici au Québec et au Canada. Justin Trudeau règne au sommet de la complaisance étatique, voire soumission totale face à l’état profond. Pour ceux qui ignorent d’où vient ce terme, résumons-le en disant que ce sont les influenceurs invisibles cachés loin et près à la fois des politiciens et qui dirigent nos destinées. Ils sont partout dans le monde.
Aux États-Unis, le coloré et controversé Trump, qui ne manque pas de courage, a décidé de s’attaquer à démasquer ces influenceurs invisibles, spécialiste de la propagation de la fausse nouvelle et de la manipulation médiatique.
Vous aurez deviné qu’avec une pandémie, fausse ou réelle, les milliards qui pointent avec la vaccination de masse font saliver les pharmaceutiques, communément appelés « Big Pharma ».
Je recommande è tous d’aller visionner l’extraordinaire vidéo intitulée Silence on vaccine qui date d’il y a 8 ans (environ 1 h 30). Ce documentaire d’exception, ironiquement subventionné par le gouvernement (office national du film) nous transporte dans le monde des vaccins et des nombreuses vies bouleversées pour des enfants et parents. Personne ne peut rester insensible.
Historiquement, le vaccin prévenait noblement la maladie et les pandémies. Il semble qu’en chemin les pharmaceutiques sont passées de clients occasionnels des états à beaucoup plus. Je n’ai aucunement l’intention de spéculer sur la définition du « beaucoup plus », mais il est clair qu’on ne parle plus de « client occasionnel ».
Que fait-on si on saisit l’ampleur de cette dépendance aux géants de ce monde sur nos vies et nos habitudes (alimentation, santé, finances, etc.)? On reste debout, pacifique, on se fait entendre et respectueux. L’important est d’abord sortir de notre zone de confort et de comprendre les tenants et aboutissants. Il n’y a aucun mal à assimiler ce qui se passe. La spéculation ne mène pas loin, mais l’observation objective de la réalité est plutôt curative.
Le moment est venu de prendre position. Notre prédisposition à « obéir » comme l’a si bien démontré l’expérience de Milgram dans les années 60, nous propulse directement dans les griffes de la bête qui carbure au contrôle et à la manipulation. À vous de décider si cela restera votre zone de confort.
Daniel Pilon
Collaborateur spécial
BAA Chroniqueur Libre-Penseur