Vous connaissez la loi du retour? Les lois les plus puissantes sont dans l’univers et ne sont pas écrites par des juristes. Elles sont là tout simplement depuis la nuit des temps. Une d’elles est la loi du retour, ce principe implacable que tout ce que tu fais te revient avec la même saveur même si parfois, sous une forme différente.
La CAQ, le parti que nous avons mis au pouvoir au Québec, est en train de le réaliser. Quand une fondation pour la défense des droits et libertés des citoyens est mise sur pied et recueille plus de 300 000 $ à la vitesse de l’éclair il faut d’emblée se poser des grandes questions. Quand la dite fondation, menée de main de maître par Stéphane Blais, un véritable libérateur de peuple qui engage des poursuites contre les gouvernements, il y a lieu de prêter attention.
Selon tout ce qui est blogueurs d’affaires publiques sur les médias sociaux, le COVID-19 est une vaste machination. C’est l’attrape initiale pour un plan qui a été bien ficelé, mais qui connaît ratée par-dessus raté.
Une partie sans cesse croissante de la population a détecté que le premier magistrat du Québec et son bras droit de la santé semblent clairement exécuter des ordres et transmettre des instructions. Ils sont les messagers de plus hauts et plus puissants. Nos leaders ont baissé les bras et livré les armes. L’OMS? Les banques et leurs conditions de financement (écouter les directives de l’OMS) qui impliquent de créer une peur voire un traumatisme chez la majorité de la population obéissante et à l’affût des instructions? La Loi C-61 n’a rien du hasard.
Que dire de cette complicité de nos grands médias. Comme si tous ceux qui ont compris la passion de Bill Gates pour les virus (il a commencé à se pratiquer avec Microsoft) étaient des écervelés. Il tente sans ambiguïté de répéter dans la vie réelle ce qu’il a créé dans son univers informatique, là où il a été longtemps roi et maître. Il a mis ses pions à l’OMS, cette Organisation mondiale qui a autorité sur les États dans le milieu de la santé et carbure à l’idée de nous voir tous accepter son miraculeux vaccin pour nous protéger de cette vilaine grippe. Nous, les observateurs, blogueurs, enquêteurs à nos heures savons bien qu’il a créé GAVI (Global Association for vaccination & Immunisation) et qu’il est désormais partenaires avec de nombreuses pharmaceutiques gigantesques, communément appelées « Big Pharma ».
Nous savons aussi que son bébé Microsoft détient un brevet pour le puçage des humains et que le mariage de cette technologie est parfaitement réalisable avec la vaccination massive.
« Allo Houston, we have a problem », si vous dormez encore, on vous pardonne, mais le moment est venu d’ouvrir les yeux.
Daniel Pilon
Collaborateur spécial
BAA Chroniqueur Libre-Penseur