Automobilistes, il faut ralentir à Les Coteaux | VIVA MÉDIA Skip to main content

Afin d’harmoniser les limites de vitesse en tenant compte de la croissance urbaine et des recommandations du ministère des Transports, et ce, tout en assurant la sécurité de ses résidents, la Municipalité des Coteaux a revu récemment sa limite de vitesse.

À Les Coteaux, la limite de vitesse dans la majorité des rues est désormais de 30 km/h. (Photo Camélia Sauvé)

Comme plusieurs municipalités et villes du Québec l’ont déjà fait, c’était maintenant au tour de Les Coteaux de revoir ses limites de vitesse. Ainsi, à l’exception de la route 338 qui est de juridiction provinciale, de la montée du Comté, de la rue Delisle et de la rue Sauvé où la limite de vitesse est de 50 km/h, l’ensemble des autres routes de Les Coteaux voient désormais des panneaux indiquant une limite maximale de 30 km/h être inscrits.

Ce nouveau règlement remplace l’ancien règlement de 1995 et répond aux besoins de la communauté en matière de sécurité routière. La Municipalité des Coteaux invite tous les citoyens à respecter ces nouvelles limites pour assurer la sécurité de tous.

Selon une étude réalisée par l’Institut national de santé publique, les bienfaits de réduire la vitesse sont nombreux. Inévitablement, la réduction de la limite de vitesse à 30 km/h dans les rues locales est généralement une mesure prise pour mitiger les effets négatifs de la circulation motorisée. On cherche ainsi à améliorer la qualité de vie des résidents et les conditions du transport actif dans ces rues. En ce qui concerne le transport actif plus particulièrement, une réduction de la vitesse des véhicules motorisés devrait accroître la sécurité et la convivialité des déplacements, ce qui devrait augmenter l’attrait des modes de transport actifs pour des utilisateurs potentiels.

Sécurité routière

La distance de freinage étant réduite, le risque de collision est considérablement plus faible à 30 km/h qu’il ne l’est à 50 km/h. De plus, à cette vitesse inférieure, la gravité des collisions est également fortement réduite. Ainsi, la diminution du nombre et de la gravité des collisions se traduit par une diminution du nombre de blessures et de décès.

Steve Sauvé

Journaliste

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