David Hamelin-Schuilenburg se présente comme candidat du Parti canadien du Québec dans Vaudreuil, un nouveau parti officialisé en juin dernier.
Natif de la région de Vaudreuil-Soulanges, David Hamelin-Schuilenburg s’installe à Pittsburgh où il devient un élu démocrate le temps de deux mandats. Il revient finalement au Québec en 2020.
Le Parti canadien du Québec, né de la création d’un comité d’action, compte 20 candidats recrutés à l’intérieur de deux mois. L’objectif principal de M. Hamelin-Schuilenburg et son parti est de protéger le droit de l’ensemble des Québécois, incluant les anglophones, les francophones et les allophones. « Je suis contre la loi 96, mais je suis pour la protection de la langue française », affirme-t-il. La mise en application de la loi de la CAQ et le pouvoir accordé à l’Office de la langue française sont problématiques pour lui.
M. Hamelin-Schuilenburg et son parti offrent une alternative aux candidats actuels et cherchent le vote de « ceux qui sont tannés des promesses brisées », ajoute-t-il. Bien que la santé soit une priorité pour ce dernier, le REM, le pont de l’Île-aux-Tourtes et le parachèvement de l’A20 sont les éléments clés aux autres problèmes de la région de Vaudreuil-Soulanges. « Je veux apporter du changement à Vaudreuil », affirme le candidat. Pour lui, le transport est un enjeu important.
Il termine en rassurant les citoyens : « Le Parti canadien du Québec ne part pas. On va être là aux prochaines élections ».