Les Clubs optimistes sont connus dans la région pour leurs implications à différents niveaux ainsi que pour les dons à différents organismes qui sont une partie intégrante de leur mission. De fait, cette année, le Club optimiste de Rigaud a décidé de soutenir la Maison de Soins palliatifs de Vaudreuil-Soulanges avec un don de 2000 $. Pour le Club de Rigaud, il s’agit de plus de 15 000 $ en dons à la Maison depuis 2010.
(Crédit photo Maison de soins palliatifs de Vaudreuil-Soulanges)
Le Club optimiste de Rigaud compte 53 membres et est connu dans la région pour son implication et pour ses différentes levées de fonds. Le Club de Rigaud avait tout d’abord participé au financement d’une chambre, lors de la construction de la Maison en 2010. Les six clubs optimistes de la région (la zone 13, qui est aujourd’hui la zone 5) avaient ainsi contribué à la construction de la Maison, en lui remettant au total 50 000 $.
« Les gens désormais nous connaissent. Ils savent que lorsque nous faisons des activités de levées de fonds, c’est ensuite pour redonner à la communauté, affirme Richard Servant, membre fondateur du Club en 1975 et président en 1984-1985. Nous voulions commanditer une chambre parce que même si notre cause principale est la jeunesse, nous aidons la communauté. Notre club a décidé de continuer à aider la Maison chaque année. »
De fait, outre ce généreux don à la Maison, le Club optimiste est connu pour son implication auprès de la jeunesse. Ils sont les organisateurs de plusieurs concours et font plusieurs dons au Relais pour la Vie, au Café de la Débrouille, pour des activités pour les jeunes ainsi que pour des écoles et pour différentes activités communautaires, etc. Voilà donc pourquoi ils organisent aussi de nombreuses activités de levées de fonds. Parmi toutes ces contributions, leur grande fierté est d’en arriver à acheter chaque année un chien Mira. Les différents Clubs de la région s’organisent afin d’assurer l’achat annuel d’un chien Mira (30 000 $ chacun) et ils en sont maintenant à leur douzième achat.
Bref, pour M. Servant, il n’y a aucun doute, sans clubs sociaux, les villes ne fonctionneraient pas.
