Au terme de 80 semaines de travaux et d’un investissement de 8,8 M$, les travaux de rénovation de l’unité de retraitement de dispositifs médicaux (URDM) de l’Hôpital du Suroît sont désormais complétés.
Bernard Cyr, directeur général adjoint aux programmes de santé physique générale et spécialisée, l’équipe de l’URDM, Lyne Daoust, directrice des programmes de soins critiques et spécialisés, et Philippe Gribeauval, président-directeur général.
(Photo: CISSSMO)
Service d’une importance capitale dans un centre hospitalier, l’URDM est essentiel au bon fonctionnement des services de santé. C’est notamment à cet endroit que tous les instruments médicaux souillés sont stérilisés.
Cette cure de rajeunissement ne passe pas inaperçue. Les changements effectués à l’URDM sont importants. Il est question de l’augmentation de la superficie des locaux de l’URDM, de la mise en place de zones dédiées au triage, au nettoyage, à la décontamination, à la stérilisation, au séchage, à l’emballage d’instruments et à l’entreposage, de la création d’un parcours unidirectionnel permettant d’éviter la contamination croisée, de contrôle de température de l’humidité, d’achat de nouveaux équipements, notamment un lave-chariot, d’aménagement du bureau du chef d’équipe avec vue sur le secteur d’activités, permettant un meilleur accès au gestionnaire et d’autres avantages.
Pour le président-directeur général du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie-Ouest, Philippe Gribeauval, le réaménagement de l’URDM, tout comme les autres projets de modernisations en cours à l’Hôpital du Suroît, permettent de mieux répondre aux besoins de services de santé de la population. « L’unité offre un environnement de qualité aux employés qui auront des espaces de travail ergonomiques, attrayants et lumineux dotés d’équipements à la fine pointe de la technologie », souligne M. Gribeauval.
Notons finalement que les travaux de réaménagements sont conformes aux normes d’Agrément Canada, aux normes présentées dans le Guide d’immobilisation de l’Institut national de santé du Québec (INSPQ) et à celles de l’Association canadienne de normalisation (CSA).