En analyse depuis 2017, la Ville de Salaberry-de-Valleyfield a enfin obtenu son certificat d’autorisation du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques concernant le prolongement de la rue Barrière dans le secteur de la Baie.
Avant d’amorcer les travaux, pour tout projet impliquant l’aménagement de nouvelles infrastructures, la ville doit obligatoirement obtenir les autorisations nécessaires. Cette analyse permet de s’assurer que le projet est respectueux des règles en matière de développement durable. C’est la raison pour laquelle le projet, bien que figurant constamment sur la liste des travaux à réaliser en cours d’année, ne pouvait aller de l’avant jusqu’à maintenant.
« Le prolongement de la rue de la Barrière jouera un rôle central pour améliorer la fluidité de la circulation et la sécurité du secteur, en offrant une autre option que la rue Saint-Jean-Baptiste. Surtout, la rue deviendra la pierre angulaire du développement résidentiel dans le quartier. Nous avons plus de 1000 lots à développer dans la Baie, dont la majeure partie dépend de la réalisation de la rue de la Barrière », a expliqué Monsieur Lemieux persuadé que la nouvelle tant attendue aura un impact majeur sur le secteur de la Baie.
« Puisque durant la période estivale, les acteurs du domaine de la construction ont déjà des carnets de commandes bien chargés, nous irons en appel d’offres dès cet automne. Nous sommes prêts à ce que les travaux soient faits durant l’hiver, pour que la rue soit déjà prête une fois le printemps arrivé », a précisé le premier magistrat qui ne compte amorcer les travaux le plus rapidement possible.
« Les statistiques concernant le développement résidentiel atteignent des proportions inégalées à Salaberry-de-Valleyfield depuis plusieurs décennies. Des gens d’un peu partout en Montérégie et même d’ailleurs choisissent de déménager chez nous pour profiter de notre qualité de vie, du coût de la vie abordable et des salaires élevés offerts par plusieurs de nos entreprises en quête active de main d’œuvre. Le prolongement de la rue de la Barrière deviendra essentiel pour répondre à cette nouvelle demande », a conclu Miguel Lemieux.