Outre l’immigration, quoi faire pour contrer la pénurie de la main-d’œuvre? -- Communiqué de Marc Faubert | VIVA MÉDIA Skip to main content

Dans un contexte où le taux de chômage est au plus bas depuis les 40 dernières années, la disponibilité de la main-d’œuvre représente un important défi.

La pénurie de travailleurs fut d’ailleurs le premier enjeu relevé par la direction du Groupe Meloche lors de la visite de Madame Chrystia Freeland, ministre des Affaires étrangères, le 24 septembre dernier. « Lorsque j’entends des propriétaires d’entreprises d’ici me dirent qu’ils se font compétition pour des employés, il est clair qu’il y a quelque chose qui ne fonctionne pas » soutien Marc Faubert, candidat du Parti libéral du Canada dans Salaberry-Suroît.

Rétention et formation

L’immigration fait évidemment partie des pistes de solution pour combler le déficit de main d’œuvre. Marc Faubert précise toutefois que, outre l’immigration, il y a des moyens réalisables à court terme pour aider les entreprises. Dans un premier temps, la rétention des employés déjà en poste est primordiale. Il est impératif pour les entreprises d’innover pour améliorer l’expérience de travail des employés actuels. « Des horaires flexibles et adaptés permettent de garder plus longtemps en emploi les travailleurs les plus expérimentés tout en réduisant le besoin de nouveaux talents », explique-t-il.

La formation constitue également un moyen efficace pour faire face à cet enjeu. Le candidat libéral rappelle qu’au mois de juin 2019, une entente a été signée avec le gouvernement du Québec au sujet de la pénurie de main-d’œuvre. Celle-ci prévoit le transfert de 5,4 milliards $ vers le Québec, soit 686 millions $ de plus que l’entente signée sous le gouvernement conservateur. Cet accord permet à 240 000 travailleurs de bénéficier de nouvelles formations pour intégrer les entreprises.

Mélanie Calvé

Journaliste

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