Une simulation comme on n’en voit pas souvent | VIVA MÉDIA Skip to main content

Certains membres de services de sécurité incendie de la région ont eu l’opportunité, le mardi 20 février, de parfaire leurs techniques de pompiers-araignées. Une expérience que les participants de cet entraînement ne sont pas près d’oublier.

Ce n’est pas tous les jours que les sapeurs doivent avoir recours aux pompiers-araignées. Cependant, ce n’est pas parce que les circonstances ne s’y prêtent pas que ces spécialistes ne doivent pas s’exercer. Profitant de l’intervalle entre la fin des travaux et la réouverture à la circulation du pont Larocque qui relie Salaberry-de-Valleyfield et Saint-Stanislas-de-Kostka, un exercice a été organisé.

Prévu initialement pour commencer à 9 h 30, il y a eu quelques minutes de délai. Il faut comprendre que ce n’est pas parce qu’un exercice est prévu que les sapeurs peuvent se la couler douce. D’ailleurs, ils ont été appelés à intervenir pour un feu de résidence quelques heures avant l’entraînement. C’est donc après avoir combattu un incendie pendant quelques heures que les pompiers se sont présentés pour la simulation.

Conditions climatiques

Monter dans la structure du pont Larocque à Salaberry-de-Valleyfield lorsque le mercure est de – 11 °C exige le port de certains équipements additionnels. En hauteur, la température chute drastiquement. Rencontré sur place, un pompier explique que ce n’est pas tous les jours qu’il peut s’entraîner, donc, pas question de se laisser décourager par le froid.

Steve Sauvé

Journaliste

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