En raison du refus des transporteurs desservant le territoire du Centre de service scolaire de la Vallée-des-Tisserands d’accepter l’offre conclut entre le gouvernement et la Fédération des transporteurs par autobus (FTA), les parents risquent de devoir trouver des alternatives pour le transport des élèves, dès le 31 août.
Dans une lettre envoyée aux parents, le directeur du secrétariat et des communications à la CSSVT, Luc Langevin, explique que depuis le mois de mars dernier, que le CSSVT tente de conclure une entente avec ses transporteurs, mais sans succès.
« Le CSSVT a offert l’ensemble du budget négocié par le gouvernement et la FTA pour notre centre de service aux transporteurs de la région. Malgré l’entente nationale, nous avons été informés ce matin que les transporteurs desservant le CSSVT ont refusé notre offre. »
Considérant ce qui précède et malgré la poursuite des négociations au niveau local, le CSSVT envisage la possibilité qu’aucun service de transport scolaire ne soit offert pour la rentrée des classes.
Par conséquent le CSSVT invite les parents à prévoir d’autres options pour le déplacement des enfants vers l’école et pour le retour à la maison.
« Le personnel du centre administratif et les directions d’école travaillent à mettre en place des mesures de soutien pour les familles. L’école de votre enfant communiquera avec vous dans les prochains jours afin de vous suggérer des mesures d’atténuation face à cette situation hors de notre contrôle. Soyez assurés que nous mettons tout en œuvre pour finaliser ce dossier au bénéfice des élèves et de leur famille », peut-on lire dans la missive envoyée.
Je trouves ça bien dommage qu’à quelques jours de la rentrée les parents soient obligés de trouver une solution. Ils ne l’ont pas eu facile en 2021-2022 avec la pandémie ces chers parents et voilà que ça recommence. Pas évident de trouver des solutions et d’avoir à voyager ces enfants, pas tous les employeurs qui peuvent accommoder leurs employés matin et soir 5 jours par semaine. Bonne chance aux parents encore une fois, ils ont encore la patate chaude.
Nous parlons ici d’un probleme provincial, pas juste de notre CSS.