La mère d’une adolescente âgée de 14 ans, est complètement désemparée. La fille de Cassandra Zanth est victime d’intimidation. Menaces, harcèlement, agressions physiques ; voilà ce qui attend quotidiennement la jeune fille. D’ailleurs, le 14 octobre dernier, l’étudiante de l’école secondaire Baie-Saint-François a été conduite à l’hôpital après avoir été agressée, à l’école, par plusieurs adolescentes. Le verdict : une commotion cérébrale! Cassandra Zanth raconte son histoire afin de sensibiliser la population au fléau qu’est l’intimidation, tout en espérant que sa fille puisse retrouver paix et sécurité.
La mère de famille explique que tout a débuté l’an dernier. Depuis, un groupe d’adolescentes harcèle sa fille en la bombardant de propos méchants et en la menaçant. « Il est arrivé très souvent que ma fille revienne à la maison avec des coupures, des ecchymoses au visage et des blessures de toutes sortes », mentionne Mme Zanth.
La jeune fille ne se sentant pas en sécurité à l’école refusait de s’y rendre. Sa mère, démunie face à la détresse de sa fille, la gardait à la maison. Face aux nombreuses absences de l’adolescente, la direction de l’école a communiqué avec la Protection de la jeunesse. « Le dossier a rapidement été fermé, dit la mère, mais ma fille a été obligée de retourner à l’école ».
Le jeudi 13 octobre dernier, la jeune fille a reçu de nombreuses menaces via l’application Snapchat. « Elle ne voulait pas aller à l’école le vendredi. Je lui ai répondu qu’elle n’avait pas le choix », explique Mme Zanth. Le vendredi, sa fille s’est fait attaquer par plusieurs filles qui lui ont infligé de graves blessures, notamment en la frappant à plusieurs reprises à la tête et à la figure. « Ma fille est très maganée. En plus, pendant que nous étions à l’hôpital, des filles lui ont envoyé des messages –j’espère que tu as appris ta leçon ».
Le samedi, les messages contenant des menaces se sont poursuivis malgré le fait qu’une des adolescentes a été mise en état d’arrestation. Selon Mme Zanth, cette dernière a été relâchée sous certaines conditions. « Ce sont des grosses menaces ; on est capables de te faire disparaître! T’es mieux de changer d’école. C’est certain que tu vas te faire retaper », raconte la mère de famille.
« J’ai parlé avec plusieurs parents, ma fille n’est pas la seule! Un jeune garçon s’est fait frapper par 6 personnes, lui aussi ».
Mme Zanth soutient que sa fille ne retournera pas à l’école. Elle a demandé un transfert d’école. La mère de famille désire dénoncer la situation. Elle souligne que la violence à l’intérieur des murs de l’école secondaire de la Baie-Saint-François a atteint son paroxysme et les jeunes victimes d’intimidation ne sont assurément pas bien protégées. De plus, à la demande de certains parents, la direction soutiendrait que les caméras n’auraient rien capté ou ne seraient pas fonctionnelles.
La grand-mère de la jeune fille déplore le fait que pour leur protection, les victimes se retrouvent obligées de changer d’école alors que les intimidateurs eux, poursuivre simplement leur scolarité en toute impunité.
Bonjour j’aimerais dire un petit mot à cette petite article fausse pour commencer j’étais présente et il avais qu une seul personne qui lui a touché elle étais assises par taire et pratiquement impossible que la victime aille le pied foulée acause de la personne qu’il l’a attaquer et bien sûr cette Article est bourré de mensonges j’ai étais que la prochaine fois que vous faite des arctiques de la sorte il ni aille pas autent de mentri la jeune qui c’est fait (intimider) n’a pas mériter je suis d’acore mais se quel a fait avent l’événement est inacceptable elle a causer beaucoup de problèmes cette jeune fille là mais rendu à raconter des mensonges à sa mère et publier sa c’est inacceptable merci et bonne journée.