Tous les parcs bientôt aux normes à Salaberry-de-Valleyfield | VIVA MÉDIA Skip to main content

Salaberry-de-Valleyfield – La Ville de Salaberry-de-Valleyfield investira un peu plus de 800 000 $ au courant de l’année afin de compléter sa mise aux normes des modules de jeux dans les parcs de son territoire. Depuis les dernières années, des investissements majeurs ont permis de remettre à niveau les installations désuètes, afin de répondre aux critères actuels de sécurité.

Les parcs Sicotte, Landry et Bélanger, entre autres, auront droit à une cure de rajeunissement.

(Photothèque)

Au total, ce sont 10 parcs de la ville qui bénéficieront de ces améliorations en 2023. D’abord, le parc Sicotte (quartier Jules-Léger) profitera d’un peu plus de 200 000 $ pour le remplacement complet de l’aire de jeux : module psychomoteur à thématique de forêt incluant deux glissades, une balançoire avec cinq sièges et du mobilier. Une plantation d’arbres est également prévue.

Au parc Bélanger (quartier Jules-Léger), les modules non conformes seront retirés, une nouvelle glissade et une balançoire seront installés tout comme une coquette maisonnette pour l’imagination et la socialisation des plus petits.

Au parc Horace-Viau (quartier Jules-Léger), les jeux sur ressort seront remplacés et les fosses d’amortissement sous les modules seront refaites afin d’assurer la sécurité des enfants.  Enfin, au parc Arthur-Barrette dans le même quartier, une fosse d’amortissement sera corrigée et du mobilier sera ajouté.

Le parc Landry (quartier Nitro) bénéficiera d’un montant avoisinant les 100 000 $ pour le remplacement d’un module de jeux destiné aux 5 à 12 ans à thématique de fusée. Certaines surfaces sous les modules seront aussi corrigées.

Au parc Gérard-Langevin (quartier Nitro), du mobilier sera ajouté pour les joueurs de pétanque. L’espace de jeu familial sera bonifié par du mobilier et les modules seront repositionnés.

Dans le quartier de la Baie, les modules désuets du parc Mgr Guy-Bélanger seront remplacés, en plus de l’ajout de nouveau mobilier. Ce parc bénéficie d’une subvention de 50 000 $ du programme de soutien à la vitalisation et à la coopération intermunicipale du Fonds régions et ruralité du MAMH.

Du côté de Grande-Île, au parc de l’Île des Patriotes, un terrain de pétanque supplémentaire sera ajouté et les vieilles structures de jeux non conformes seront retirées. Une plantation d’arbres dans la plaine se fera à l’automne afin d’augmenter la superficie du boisé.

Au parc Lauzon (quartier Saint-Timothée), les modules désuets de la section ouest (rue des Lilas) seront retirés, faisant place à une plantation d’arbres à l’automne.  Le sentier sera complètement refait et du mobilier et un vélo stationnaire seront implantés.  Au parc Provost (quartier Saint-Timothée), la vieille balançoire sera simplement remplacée par une nouvelle qui répond aux normes.

Ces améliorations marqueront la fin de cette série de travaux de mise aux normes des parcs à travers la ville. L’organisation municipale considère ses 95 parcs comme un réseau, alors qu’ils sont réfléchis pour se compléter et offrir des vocations diversifiées, en fonction de leurs emplacements. De plus, la Ville utilise des matériaux résistants au feu et au vandalisme aussi bien pour le mobilier urbain que pour les infrastructures et les équipements de jeu.

« Jouer dehors ne va plus de soi! La concurrence des écrans est forte, tout comme la préoccupation des parents que leurs enfants soient en sécurité en tout temps. Offrir des équipements en bon état de fonctionnement et conformes aux normes constitue pour la Ville un impératif en matière de prévention dans les parcs », soutient la coordonnatrice aux parcs, Claudia Meloche.

Au-delà de la sécurité, la Ville tient à offrir aux enfants et à leurs familles des parcs stimulants, où ils pourront développer leurs aptitudes et leurs habiletés. « Quel que soit l’âge, il faut offrir des possibilités de jeu libre et spontané qui permettront aux jeunes de mieux se développer sur tous les plans : physique, social, intellectuel et affectif » a-t-elle conclu.

Denis Bourbonnais

Journaliste

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