Le magasin Canadian Tire de Salaberry et la Fondation Bon départ, s’unissent à la campagne de financement de la Fondation de l’Hôpital du Suroît afin soutenir l’achat d’équipements pour la Maison régionale pour jeunes adultes polyhandicapés de Beauharnois.
Nous apercevons sur la photo, M. Dominic Choinière, directeur général du Canadian Tire de Salaberry-de-Valleyfield, Mme Michèle Cyr-Lemieux, directrice générale de la Fondation de l’Hôpital du Suroît ainsi que M. Michel Choinière propriétaire, du Canadian Tire de Salaberry-de-Valleyfield
C’est un don conjoint de 10 000$ qui s’ajoute au montant déjà amassé de l’organisme. Soulignons que l’objectif est d’atteindre la somme totale de 270 000$ qui servira à offrir un milieu de vie adapté aux 10 usagers de la Maison régionale pour adultes polyhandicapés de Beauharnois.
Pour M. Michel Choinière, propriétaire du magasin Canadian Tire, situé à Salaberry-de-Valleyfield, contribuer à sa communauté à toujours été une priorité. L’homme d’affaires à toujours répondu présent lorsqu’il était question de soutenir les jeunes de la région.
« Que ce soit pour les Olympiques spéciaux ou auprès de différents organismes, notre engagement est toujours motivé par l’impact concret que nous pouvons avoir dans la vie des jeunes et de leurs familles. Pour avoir visité récemment la Maison régionale pour jeunes adultes polyhandicapés, je constate que ce milieu de vie est unique et les familles de la Montérégie qui ont des jeunes polyhandicapés ont besoin de pouvoir compter sur une installation aussi innovante et adaptée », mentionne M. Michel Choinière.
Pour sa part, Mme Michèle Cyr-Lemieux, directrice générale de la Fondation de l’Hôpital du Suroît, souligne que la Fondation est heureuse de recevoir le don de 10 000$ qui permettra d’assurer le confort et le développement des capacités des jeunes adultes résidents à la Maison régionale pour jeunes adultes polyhandicapés. « La Fondation Bon départ de Canadian Tire du Québec se consacre à l’épanouissement des enfants et des adultes vivant en situation de vulnérabilité et ce créneau est directement en lien avec les réalités vécues par les familles avec jeunes polyhandicapés », ajoute-t-elle.