Promesse d’achat signée par Solargise | VIVA MÉDIA Skip to main content

Le vendredi 29 novembre, le maire de Salaberry-de-Valleyfield, Monsieur Miguel Lemieux, a convié les médias afin de procéder à une annonce concernant l’implantation de Solargise dans la municipalité. Pour l’occasion, il était accompagné de Monsieur Raj Basu, président exécutif et fondateur de Solargise.

Monsieur Miguel Lemieux, maire de Salaberry-de-Valleyfield et Monsieur Raj Basu, président exécutif et fondateur de Solargise.

Selon Monsieur Lemieux, la concrétisation de ce projet ambitieux pourrait potentiellement devenir le projet d’énergie renouvelable le plus important au pays. Le magistrat a expliqué qu’une certaine flexibilité a été accordée à l’entreprise. « Il y a une particularité lorsque nous faisons affaire avec une ville, c’est-à-dire que lorsque nous vendons un terrain, c’est pour une construction rapide. Certaines restrictions plus poussées qui font en sorte que nous donnons des conditions. Nos prix sont bons, mais cela vient avec des conditions plus sévères en guise de minimum de superficie à construire ainsi que le délai pour construire. Pour faciliter l’implantation du projet Solorgise, nous en sommes venus à la conclusion qu’il fallait offrir davantage de flexibilité à l’entreprise pour commencer ces activités », explique Monsieur Lemieux.

 

Conséquemment, l’entente entre les deux parties prévoit l’acquisition d’un premier terrain, situé dans le parc industriel et portuaire Perron, de 350 000 p2 sur lequel sera construit un premier bâtiment d’une superficie de 180 000 p2. Concrètement, cette première phase sera construite sur la partie du terrain qui longe le Boulevard Cadieux. Cela signifie une emprise au sol de plus de 50%, soit la partie sud du terrain initialement prévu. Cette première phase est destinée à la fabrication de cellules photovoltaïques à haute efficacité et de panneaux solaires. Succinctement, cela représente un investissement de 100 millions de dollars ainsi que 180 emplois. « C’est excellent pour l’économie ainsi que pour la création d’emplois », souligne le magistrat.

 

Pour sa part, Monsieur Baj a souligné qu’il prévoyait commencer la première ligne de la production dès l’année prochaine.

 

 

Mélanie Calvé

Journaliste

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